Yellow Belt Lean

Présentation du parcours

Ce parcours, d’une durée de 3 jours est particulièrement bénéfique pour plusieurs raisons :

• il fait une très large part à la pratique et à l’expérimentation par soi-même, pour comprendre l’utilité de la démarche et le contexte d’application,
• il reste centré sur l’humain et non sur les outils, s’attachant davantage aux comportements, à la posture, et donc à l’adaptabilité des participants dans une environnement complexe,
• il renforce la polyvalence, la légitimité et la visibilité des participants en les responsabilisant et leur donnant le recul nécessaire à la compréhension de leur environnement et des projets/ processus dont ils ont la charge,
• il donne cette culture de l’apprentissage permanent, étape nécessaire vers une entreprise ou institution “apprenante” et donc génératrice de motivation et d’évolution,
• il est reconnu par l’industrie et les services depuis de nombreuses années et sert de marqueur de compétence et de savoir être.

La validation du parcours Yellow Belt Lean s’attache à développer le savoir et la connaissance des concepts de
la pensée Lean, essentiels pour intégrer et comprendre la question “quoi” que pourrait poser une
personne néophyte à cette philosophie de management.
cette validation par QCM et cas pratique vérifie les compétences en vocabulaire spécifique, en mise en œuvre des outils de base et son intégration par les comportements et réflexes à adopter dans un système de pensée
Lean dans l’organisation. On parle alors de validation du “Savoir” puis du “Savoir Faire”.

Ainsi, en plus des connaissances pures sanctionnées par un QCM, nous validons le niveau Yellow Belt Lean
sur une étude de cas avec une grille d’analyse spécifique.
Yellow Belt Lean : quels avantages pour l’employabilité ?
Cette certification permet à la personne formée de développer un langage commun, de se sentir plus
impliquée dans toutes les actions d’amélioration continue, et s’y sentir intégrée et acteur à son tour.
La personne  gagne sensiblement en temps de compréhension, en forces de
proposition et en confort d’exécution des tâches nécessaires à cette démarche ; elle connaît et
maîtrise mieux les leviers d’efficacité, elle s’est entrainée à identifier plus efficacement les sources de
gaspillages et de non-valeur ajoutée dans son environnement professionnel direct et indirect. Incitée
à travailler mieux plutôt que travailler plus, elle en retire plus de confort et de bien être dans ses
relations et responsabilités professionnelles. D’observateur, elle devient acteur d’un processus
d’amélioration continue, et donc de changement.